LES ORGANISMES

A ce jour, la Chambre d’Agriculture était représentée notamment dans les organismes suivants :

✔ Conseil d’Administration du Port d’Abidjan,

✔ Comité du Wharf de Sassandra,

✔ Conseil d’Administration du Chemin de Fer,

✔ Comité Consultatif des Transports,

 ✔ Aux Assemblées Générales de l’Energie Electrique de la Côte d’Ivoire,

✔ Conseil d’Administration de la Caisse Nationale du Crédit Agricole,

✔ Comité d’Escompte de la Caisse Nationale du Crédit Agricole,

✔ Conseil de Direction du Collège Technique d’Agriculture de Bingerville,

✔ Commission d’Expertise de la Qualité des produits,

✔ Comité National de la Recherche Scientifique,

✔ Conseil d’Administration de la SATMACI,

✔ Comité de Gestion de la Caisse de Stabilisation des Produits Agricoles,

✔ Commission des Mercuriales Douanières,

✔ Comité Technique de l’Institut des Recherches sur les Huiles et Oléagineux(I.R.H.O),

✔ Comité Technique de l’Institut des Recherches du Coton et des Textiles(I.R.C.T),

 ✔ Comité technique de l’Institut Français du Café et du Cacao(I.F.C.C),

✔ Comité Technique de l’Institut Français des Recherches Fruitières Outre-Mer(I.F.C),

✔ Comité Technique de l’Institut des Recherches sur le Caoutchouc en Afrique(I.R.C.A),

✔ Comité Technique du Centre Forestier Tropical(C.T.F.T),

✔ Comité National pour l’Alimentation,

✔ Conseil d’Administration de la Mutuelle Agricole des Régions Tropicales,

✔ Conseil d’Administration de la Fédération Agricole et Forestier,

✔ Conseil d’Administration de la Société d’Etudes pour le Développement de Côte d’Ivoire,

✔ Conseil d’Administration de la Société d’Equipements de la Côte d’Ivoire,

✔ Conseil d’Administration de la Banane,

✔ Commission Centrale des Prix,

✔ Comité d’Hygiène et de Salubrité Publique,

✔ Comité Interministériel d’Orientation Scolaire et Universitaire.

Une réforme fondamentale imposée par le temps s’avérait nécessaire, malgré les modifications apportées aux textes au cours de ces 40 années.

Réclamée à maintes reprises par la Chambre d’Agriculture et d’Industrie en raison de l’essor économique de notre pays, tant dans le domaine agricole que dans la section industrielle, cette indispensable réforme ne devait voir le jour qu’après l’Indépendance de la Côte d’Ivoire.

C’est en effet par la Loi N° 60-340 du 28 octobre 1960 que le Gouvernement Ivoirien institua les Assemblées Consulaires Représentatives des intérêts économiques en Côte d’Ivoire. La loi du 28 octobre 1960 entraîna le décret N° 63247 du 17 mai 1963 portant organisation des Chambres d’Industrie et le décret N° 6421 du 9 janvier 1964 portant organisation des Chambres d’Agriculture.

A partir de ces textes il restait alors au Président en exercice de la chambre d’Agriculture et d’Industrie, monsieur Raymond DESCLERS (Planteur à Kouta près de Divo) élu sans interruption depuis novembre 1946, de provoquer la séparation de la chambre d’Agriculture et de la Chambre d’Industrie. C’est lors d’une Assemblée Générale tenue le 15 avril 1965, sous donc la présidence de Monsieur DESCLERS, que fut élu à l’unanimité Monsieur André BLOHORN, premier Président de la Chambre d’Industrie de Côte d’Ivoire avec en Vice-Présidence Monsieur Konan Lambert.

La Chambre d’Agriculture continuait son chemin, le président DESCCLERS se retire en 1966 et à la suite des élections du 6 mars 1966, Monsieur OKA NIANGOIN fut élu au poste présidentiel; OKA NIANGOIN devint ainsi le premier président Africain de la Chambre d’Agriculture, il le restera sans interruption jusqu’à sa mort survenue à Paris le 24 juillet 1991. A partir de ces textes il restait alors au Président en exercice de la chambre d’Agriculture et d’Industrie, monsieur Raymond DESCLERS (Planteur à Kouta près de Divo) élu sans interruption depuis novembre 1946, de provoquer la séparation de la chambre d’Agriculture et de la Chambre d’Industrie. C’est lors d’une Assemblée Générale tenue le 15 avril 1965, sous donc la présidence de Monsieur DESCLERS, que fut élu à l’unanimité Monsieur André BLOHORN, premier Président de la Chambre d’Industrie de Côte d’Ivoire avec en Vice-Présidence Monsieur Konan Lambert.

La Chambre d’Agriculture continuait son chemin, le président DESCCLERS se retire en 1966 et à la suite des élections du 6 mars 1966, Monsieur OKA NIANGOIN fut élu au poste présidentiel; OKA NIANGOIN devint ainsi le premier président Africain de la Chambre d’Agriculture, il le restera sans interruption jusqu’à sa mort survenue à Paris le 24 juillet 1991.

De son côté la Chambre d’Industrie engageait sa représentation des intérêts industriels de la Côte d’Ivoire. Elle partage avec la Chambre d’Agriculture l’immeuble N° Il avenue Lamblin dont la construction a été réaliser en 1953. Lors de l’Assemblée Générale de la chambre d’Industrie tenue le 21 mai 1975, André BLOHORN fut porté à la Présidence d’Honneur et Lambert KONAN fut appelé à prendre la Présidence.

Monsieur André BLOHORN est décédé le 20 Décembre 1984, quelque mois avant son collègue et ami François MASSIEYE (+ 13 octobre 1985).

Mais l’activité consulaire se poursuit et s’étend sur toute la Côte d’Ivoire avec en particulier la création des Chambres des Métiers. Au cours du conseil des Ministres du 7 mars 1990, Monsieur Oumar Diarra, alors Ministre du Plan et de l’Industrie, a informé le conseil d’un projet de modification de la loi N° 60.340 du 28 octobre 1960 portant institution des Assemblées représentatives des intérêts de Côte d’Ivoire et création des Chambres des métiers, avec également des projets de décrets portant :

✔ Attribution et organisation des chambres des Métiers,

✔ Création et organisation du répertoire des Métiers en Côte d’Ivoire.

L’amendement de la Loi de 1960 a été porté par Loi N° 90.584 du 25 juillet 1990. Des Chambres des Métiers ont ainsi été installée à Bouaké, Korhogo, Man, Bongouanou, Odienné, Yamoussoukro.

Le 15 mai 1991, le Conseil des Ministres a adopté un décret portant restructuration de la Chambre d’Agriculture et un comité de gestion provisoire a été institué par arrêté ministériel N° 134 du 18 juin 1991.

Les principaux textes organiques de la chambre d’Agriculture devront être actualisés, amendés. Après approbation de ces textes de base par le Gouvernement, des élections pourront alors être programmées.